Les Exportations Nationales De Textiles Et De Vêtements Ont Diminué De 18% Au Cours Du Premier Trimestre Et Se Sont Améliorées En Mars.

D'après l'administration générale des douanes, les exportations totales de textiles et de vêtements du pays se sont élevées à 45 milliards 264 millions de dollars au cours du premier trimestre de cette année, soit une baisse de 17,7% (15,9% en renminbi par rapport à l'année précédente).Sur ce total, les exportations totales de textiles se sont élevées à 22 694 millions de dollars, soit une baisse de 14,6% (12,7% en renminbi) et les exportations totales de vêtements à 22 570 millions de dollars, soit une baisse de 20,6% (18,9% en renminbi).

Les exportations industrielles continuent de se différencier par catégorie de produits.D'après les statistiques douanières, les exportations de textiles, notamment de fils, de textiles, de textiles ménagers, industriels et autres articles manufacturés, ont augmenté de 5,3 points de pourcentage par rapport aux deux mois précédents, tandis que les exportations de vêtements en aval ont continué de diminuer de 0,6 point de pourcentage par rapport aux deux mois précédents.

En mars, nos exportations de textiles et de vêtements se sont élevées à 15 milliards 430 millions de dollars, soit une baisse de 12,9% (10% en renminbi).Sur ce total, les exportations de textiles se sont élevées à 8 milliards 822 millions de dollars, soit une baisse de 4,9% (1,7% en renminbi) et les exportations de vêtements à 6 milliards 608 millions de dollars, soit une baisse de 22% par rapport au mois précédent (19,3% en renminbi).

Au cours des deux prochains trimestres, le secteur textile de notre pays est confronté à de graves difficultés pour « stabiliser le commerce extérieur » et « stabiliser l'emploi » en raison de la propagation mondiale de l'épidémie de la nouvelle couronne.L'annulation ou le report brutal de commandes à l'étranger a créé une grande incertitude dans le fonctionnement des entreprises textiles nationales qui ont repris leur activité, mettant en lumière les problèmes réels liés à la demande du marché, aux stocks, aux flux de trésorerie, etc.Il faut que les gouvernements, les entreprises et les organisations industrielles conjuguent leurs efforts et prennent en temps voulu des mesures efficaces pour gagner la « guerre de survie» au cours du deuxième trimestre, afin de renforcer la résilience du développement futur de l 'industrie.